Suite à une épidémie, la Cité vit à l'abri d'un mur. Mais Maïa ne conçoit pas l'idée d'une vie recluse et décide coûte que coûte de s'évader.
Responsable de l'emprisonnement de son mentor, elle doit accélérer son enquête pour espérer franchir le mur, au risque d'être arrêtée à son tour.
Mais elle ne peut agir seule et doit maintenant se tourner vers le Ghetto pour tenter d'y trouver de l'aide et des réponses.
Elle ne dispose que de trente jours !
Et si la vérité était pire que tout ce qu'elle pouvait imaginer ?
Une dystopie qui peint une société régit par les militaires où la hiréarchie permet à tous de survivre. Mais à quel prix ?
De surprises en révélations, Maïa ouvre progressivement les yeux sur un monde injuste et cruel où une poignée d'hommes décident arbitrairement de l'avenir de chacun.
Les titres des chapitres martèlent le décompte des jours qu'il reste avant que son mentor se voit appliquer une terrible peine. Ils amplifient la course contre la montre de l'héroïne qui doit comprendre les rouages de ce monde afin de pouvoir peut-être s'en détourner.
La violence, le totalitarisme ne suffiront pas à vaincre son seul espoir : partir, quelque soit ce qui l'attend derrière la clôture.
Mais les liens tissés d'une part avec son mentor et d'autre part avec Zéphir et Nate, deux hommes du ghetto sont à la fois une aide et un poids. Il est plus facile de risquer sa vie que celle des autres...
Un roman efficace qui nous entraîne dans tous les recoins de la cité, des bars malfamés au quartier général des militaires. Nous n'avons pas de mal à nous identifier à l'héroïne qui n'a plus rien à perdre et cherche à retrouver l'espoir à travers la quête du personnage mythique de l'enfant papillon.
Les sentiments sont aussi au rendez-vous avec une adolescente qui va ouvrir son coeur... A lire !
97820139733410
16 euros
397 pages
Collège/Lycée
Dystopie- Injustice- Mensonge-Manipulation- Liberté
La société bâtie sur les cadavres de la Grande Epidémie se targuait d'avoir survécu à la pire des plaies, mais à quel prix ? Pourquoi tolérait-on de tels dysfonctionnements ? Et surtout pourquoi, quand quelqu'un comme Zéphyr tentait de rétablir un peu de justice, était-il broyé par le système ?